Lexa, une solution plus écologique pour les traductions juridiques ?

Lexa, une solution plus écologique pour les traductions juridiques

Aujourd’hui, la question écologique est au centre des préoccupations tant des entreprises que des professions réglementées. Alors que les cabinets d’avocats, les départements juridiques ou les études notariales se posent déjà des questions sur la conformité de leurs outils numériques avec le RGPD, rares sont ceux qui mesurent quotidiennement leur empreinte environnementale liée aux pratiques documentaires. Pourtant, des activités apparemment anodines, telles que la gestion et surtout la traduction juridique, peuvent générer une empreinte carbone significative. Dans ce contexte, la mise en place d’une traduction juridique écologique devient un enjeu concret. L’utilisation d’une solution de traduction automatique spécialisée telle que Lexa pourrait-elle représenter une réponse à la fois performante et responsable ?

Une activité plus énergivore qu’il n’y paraît

Un processus traditionnel aux multiples impacts

La traduction d’un document juridique requiert bien plus qu’une simple conversion de fichiers. Dans une approche classique de traduction humaine, diverses phases se déroulent successivement : transmission du document, impression potentielle, révision et vérification, échanges par courrier électronique, appels téléphoniques ou visioconférences, sans mentionner l’archivage des différentes déclinaisons sur des serveurs en nuage. Chaque geste, même le plus trivial, entraîne une dépense d’énergie.

Un exemple concret : un contrat de cession

Prenons le cas d’un cabinet d’avocats qui doit effectuer la traduction d’un contrat de cession d’entreprise de 40 pages. Impression, relectures croisées, multiples courriels, versions sauvegardées : l’ensemble du processus produit près de 3 kg de CO₂ pour un unique document. Cela représente une distance de 20 km parcourue en voiture à essence. Une réalité fréquemment négligée dans les pratiques professionnelles.

Traduction humaine, hybride ou automatique : quelle différence d’empreinte carbone ?

Comparaison des modèles actuels

Trois modèles principaux coexistent aujourd’hui :

  • La traduction humaine, la plus lourde en ressources et en temps.
  • La traduction hybride, qui combine une première version IA avec une relecture humaine.
  • La traduction automatisée spécialisée, comme celle proposée par Lexa.

Les estimations d’impact carbone sont éloquentes :

  • Traduction humaine : 60 à 80 g de CO₂ par page
  • Hybride : 30 à 40 g
  • Automatique via Lexa : 5 à 10 g seulement

Les limites des outils généralistes

Des instruments tels que DeepL ou Google Translate s’appuient sur des modèles particulièrement volumineux, non spécialisés, dont la consommation énergétique peut être jusqu’à 15 fois plus importante que celle d’un moteur restreint. Lexa, affûté pour le domaine juridique, diminue les sollicitations tout en augmentant la précision, le tout avec une empreinte énergétique négligeable.

Une direction juridique face à un projet international

Une direction juridique est chargée de la traduction de 100 procédures internes en dix langues différentes. Traditionnellement, cela équivaut à 80 heures de travail humain, plusieurs gigaoctets de stockage et une multitude d’e-mails. Avec Lexa, tout a été traduit en trois heures, tout en réduisant l’empreinte carbone par un facteur de six.

Lexa : une architecture pensée pour la sobriété

Une infrastructure économe et ciblée

Lexa repose sur une spécialisation par domaine juridique. À l’inverse des moteurs généralistes qui traitent une variété de textes, Lexa fait appel à des modèles légers, spécifiquement formés sur des ensembles de données juridiques. Cela réduit considérablement les ressources nécessaires.

Des fonctionnalités tournées vers la sobriété numérique

Lexa propose :

  • La traduction par lot
  • L’accès à un historique unique
  • Une gestion documentaire centralisée
  • Un hébergement sur serveurs européens à faible empreinte

Cas pratique : un cabinet fiscal gagne du temps et de l’énergie

Un cabinet fiscal a traduit 250 pages en une journée via Lexa, sans impression, sans aller-retour. Le bilan carbone a été réduit de plus de 80 % par rapport à son ancienne méthode de travail.

Une technologie innovante et responsable

Lexa intègre un moteur spécialement élaboré pour le droit, sans faire appel à des modèles de grande envergure. La démarche technologique s’appuie sur une innovation radicale : viser des applications sectorielles, minimiser les ressources nécessaires, et assurer une performance industrielle stable. Cette spécialisation permet à Lexa d’être non seulement plus rapide, mais aussi plus sobre, sans sacrifier la qualité.

Une solution alignée avec les obligations RSE et réglementaires

Un choix aligné avec la directive CSRD

La réglementation européenne CSRD exige des grandes entreprises qu’elles évaluent et divulguent leur impact sur l’environnement. Dans cette perspective, la trace numérique laissée par les outils internes s’impose comme un critère de conformité. Les départements juridiques, les bureaux d’études et les cabinets impliqués dans des initiatives RSE sont désormais tenus d’intégrer leurs fournisseurs dans cette démarche.

Un avantage concurrentiel à long terme

L’usage d’un moteur tel que Lexa offre non seulement la possibilité de minimiser les émissions indirectes (scope 3), mais également de promouvoir une stratégie numérique responsable dans le cadre d’appels à projets, d’audits ou de certifications RSE.

Vers une traduction juridique plus responsable

Alors que les entreprises évaluent leur empreinte carbone et que la responsabilité numérique s’impose comme un critère de sélection, l’automatisation spécialisée se présente comme une solution appropriée. Lexa, en simplifiant les processus intermédiaires, en minimisant les communications superflues et en évitant la dépendance à des infrastructures complexes, permet non seulement d’améliorer l’efficacité, mais aussi de réduire considérablement l’empreinte écologique des juristes.

Opter pour Lexa ne se limite pas à choisir un outil de traduction juridique efficace, c’est également un pas concret vers une approche plus durable. Lexa offre une nouvelle approche, conjuguant expertise, économie et efficacité : celle d’une traduction juridique plus écologique, sans rien céder sur la précision.

Conclusion

Les professionnels du droit prennent désormais conscience de l’impact environnemental concret lié au numérique. Devant l’augmentation rapide de la quantité de documents à gérer, le besoin d’assurer la confidentialité des communications et l’intensification des exigences réglementaires en matière de pratiques éthiques, on ne peut plus envisager la traduction juridique uniquement sous l’angle du coût ou du temps. Elle doit également s’inscrire dans une perspective de durabilité.

Lexa répond à ces trois critères en offrant une solution de traduction automatique spécialisée, efficace et épurée. Elle diminue considérablement l’empreinte carbone liée à la traduction, tout en préservant une grande qualité linguistique et juridique. Il s’agit d’une solution répondant aux exigences des départements juridiques, des études, des notaires et des juristes désireux de concilier excellence professionnelle et engagement écologique.

L’intégration de Lexa dans vos méthodes de travail représente donc une décision responsable, orientée vers le futur. Une approche tangible pour mettre à jour vos méthodes tout en minimisant de manière pérenne votre empreinte.

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